Lyssa

Théâtre – Création

e

ASSISTANAT À LA MISE EN SCÈNE

e

 

“Lyssa, viens me voir !
Je suis venue te chercher.
des amarres chimiques,
je veux te libérer
et la folie du monde
tourner, tourner,
l’inonder de poésie,
de délicatesse et fragilité,
abondance et sérénité
finitude, finitude et gratuité.”

La jeune poète Justine arrive de l’étranger à la recherche de sa soeur, Lyssa. Au fil de ses rencontres émerge une question : qui est Lyssa ? Une patiente ? Son double ? Un personnage imaginaire ? La folie elle-même ? Les rencontres de Justine interrogent nos liens avec la souffrance, les limites entre soin et contrainte, l’absurde et la beauté d’un monde un peu fou.

Lyssa propose un montage poétique avec la multiplicité de la folie. Une création collective qui fait le pari de la rencontre entre artistes professionnel.le.s et amateurs.rices concerné.e.s par des troubles psychiques.

Paula Brum, projet, écriture et mise en scène
Sébastien Ribaux, collaboration artistique
François Renou, assistanat à la mise en scène
Marc Berman, création musique et interprétation
Vincent Deblue, scénographie et création lumière
Angèle Colas ainsi que Jean-Luc Carrel, Michèle Egli, Sylvie Anne Marguerat, Rémy Orioli, Marc Parisod, Emanuele Porta, Schenky, interprétation

Monthey, Théâtre du Raccot – 14 février 2020
Lausanne, CPO Ouchy – 8 et 9 février 2020

Bach – Dischorals

Jean-Sébastien Bach
Quatuor Pymazov

 

CHANT

 

 

“Le choral est dans la liturgie protestante une forme musicale simple, traditionnellement destinée à être chantée en choeur par l’assemblée. Nous avons voulu questionner l’interprétation de ces brefs intermèdes musicaux sacrés, et en proposer une vision singulière. Nous menons ainsi un travail de création à partir de cette matière, avec à la fois un infini respect pour le génie de Bach mais aussi une liberté qui suscite l’écoute et la curiosité.”

Quatuor Pymazov, conception et interprétation

Marie Lipp, soprano – Zoéline Trolliet, mezzo-soprano – Pierre Arpin, ténor – François Renou, baryton

Lausanne, Espace 4C – 25 octobre 2020
Lausanne, Salle Paderewski – 7 août 2020
Cheseaux, Temple – 6 octobre 2019
Moûtiers, Cathédrale – 16 juillet 2019
Lausanne, Église Saint-François – 13 octobre 2018

 

Le Songe d’une nuit d’été

CONCERT LECTURE – MENDELSSOHN/SHAKESPEARE

e

MISE EN SCÈNE

e

 

Orchestre de Chambre de Lausanne – Les Grands Concerts 8/10

D’après Le Songe d’une nuit d’été de William Shakespeare (traduction de F. Morvan et A. Markowicz) et Le Songe d’une nuit d’été op. 21 & 61 de Felix Mendelssohn

Joshua Weilerstein, direction musicale
François Renou, mise en scène
Angèle Colas, Laura Den Hondt, Magali Heu, Lara Khattabi, Mélina Martin, Margot Van Hove, jeu
Pilar Alva Martín, Anne-Sophie Petit, sopranos
Éléonore Gagey, mezzo-soprano
Vocalistes de l’HEMU, préparation Jean-Claude Fasel

Lausanne, Salle Métropole – 29 et 30 avril 2019

Crédit photo : Olivier Wavre

Accéder au programme de salle

 

Esperluette

PROJET PÉDAGOGIQUE – THÉÂTRE MUSICAL

e

MISE EN SCÈNE

e

Considéré comme la 27e lettre de l’alphabet, ce logotype ou symbole, que l’on peut confondre avec le « et » de liaison, est bien davantage. L’esperluette associe plus qu’elle n’additionne, et en ce sens articule par une simple calligraphie la relation entre deux ou plusieurs entités. Elle est au cœur de cette création mondiale que Lee Maddeford et Daniel Perrin proposent avec le concours d’étudiants de l’HEMU et de la Manufacture. Cette idée se décline en de multiples facettes alliant écriture & improvisation, parole & musique, mots & onomatopées, mouvements & scénographie, acoustique & électronique. La rencontre est également présente sur le front des genres artistiques : musique, théâtre, classique, jazz… Les deux créateurs aiment à laisser toutes les portes (et les fenêtres) ouvertes ! Les textes collectés, sur lesquels se basent le spectacle, entrent en résonance avec l’esperluette. En particulier avec le «nœud» qu’elle symbolise également. Le nœud qui attache, relie et se fait carrefour de directions en même temps que centre d’intérêt ou cœur du problème.

Une création interdisciplinaire et rassembleuse de Lee Maddeford et Daniel Perrin, avec les étudiant.e.s musicien.ne.s classiques et jazz de l’HEMU et les comédien.ne.s promotion J de La Manufacture.

Lausanne, BCV Concert Hall – 28 avril 2018

Crédit photo : Olivier Wavre

Doubles

THÉÂTRE MUSICAL ET MARIONNETTIQUE TOUT PUBLIC – CRÉATION

e

MISE EN SCÈNE

e

 

Un récital classique : les musiciennes entrent, solennelles, saluent et s’accordent. Le public attend. Le silence tendu s’évapore dès les premières notes de musique et chacun s’abandonne aux beautés sonores. Quand soudain un spectateur retardataire entre : Monsieur Georges va malgré lui perturber ce fragile équilibre. Interrompant le cours des choses, il embarque les spectateurs dans un voyage inattendu au coeur de la mécanique musicale. Apparaissent tantôt sa propre histoire, tantôt la présence désormais transfigurée des trois musiciennes. Ensemble, ils parviendront après moult péripéties à donner au concert une dimension inattendue.

Notre point de départ est la disposition d’un concert classique : trois chaises au centre, trois lutrins, des partitions. Très vite, ce dispositif va éclater, révélant de multiples possibilités de réinvention de l’espace. L’éclairage conventionnel du récital est altéré petit à petit, au profit d’atmosphères plus singulières et spectaculaires. Alors que le monde en noir et blanc de Monsieur Georges laisse transparaître l’étrange présence humaine dans son dos, les trois filles vont progressivement quitter l’enveloppe élégante mais rigoureuse de leur condition de musicienne, pour franchir différentes étapes de métamorphose vers une figure nouvelle.

Collectif Les Manipulaires

Laurence Vérant, violon
Louise Mercier, alto
Gabrielle Jardin, violoncelle
Romain Guex, marionnette à gaine
François Renou, mise en scène

Lausanne, Maison de quartier de Chailly – 5 mai 2019
Monthey, Théâtre du Raccot – 9 mars 2019

Crédit photo : Sylvain Chabloz

Un amour de tortue

CONCERT JEUNE PUBLIC – ISABELLE ABOULKER/ROALD DAHL

e

MISE EN SCÈNE

e

“Monsieur Hoppy est amoureux de sa voisine Madame Silver, malheureusement elle ne s’intéresse qu’à sa tortue ! Comment attirer son attention ? Un scénario plein de rebondissements, de tendresse et de situations loufouques dû à l’auteur de Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl, avec une musique très imagée de la talentueuse compositrice française, Isabelle Aboulker, dont la partition se rapproche de la comédie musicale.”

Orchestre de Chambre de Lausanne – Les Découvertes 2/4

Un amour de tortue, opéra pour enfants d’Isabelle Aboulker d’après le texte de Roald Dahl

Joshua Gersen, direction musicale
François Renou, mise en scène
Zoéline Trolliet, mezzo-soprano
André Gass, ténor
Rémi Ortega, baryton
Lara Khattabi, narratrice

Lausanne, Salle Métropole – 13 et 14 février 2018

Cabaret !

SPECTACLE MUSICAL

e

COLLABORATION À LA MISE EN SCÈNE

e

“Saviez-vous qu’au début du siècle passé, en lieu et place de la salle flambant neuve du BCV Concert Hall, se tenait un fameux cabaret dont les soirées étaient connues loin à la ronde ? On raconte que les artistes qui s’y produisaient hantent encore ces murs et qu’ils ne se montrent qu’aux personnes disposées à les voir et à les écouter.

Tentez donc votre chance et pénétrez dans cet univers loufoque et festif où les styles et les langues se mélangent pour une heure de musique retraçant l’histoire du cabaret à travers le vingtième siècle.

Accompagnez les interprètes dans ce voyage scénique d’un autre temps, où canne pommeau, porte-cigarette et faux-cils vous attendent pour fêter dignement la nouvelle année sur une touche réjouissante aux couleurs sépia.”

Joël Terrin, conception
Emma Jüngling et Joël Terrin, jeu et chant
François Renou
, collaboration à la mise en scène
Jean-Philippe Clerc
, piano
 Maël Jorand, maquillage

Lausanne, BCV Concert Hall – 13 janvier 2018

Crédit photo : Gabrielle Benseval

Histoires sans gloire…

THÉÂTRE – CRÉATION

e

COLLABORATION ARTISTIQUE ET COACHING VOCAL

e

HISTOIRES SANS GLOIRE ET PRATIQUEMENT SANS PÉRIL POUR 4 VOIX SUR PENTE RAIDE

e

Collectif moitié moitié moitié
Cécile Goussard, Marie Ripoll, Adrien Mani, Matteo Prandi

Premier projet du Collectif moitié moitié moitié, Histoires sans gloire et pratiquement sans péril pour 4 voix sur pente raide est une pièce combinant matériaux puisés dans l’imaginaire de la montagne et pratique du chant à quatre voix. Se jouant d’un regard traditionnel et pittoresque, nos joyeux lurons se lancent dans une suite de tableaux rocambolesques et exposent avec légèreté et humour un patriotisme surabondant. Peu à peu, un récit émerge et remue : des chants entrecoupés d’accès de folie bovine, une balade touristique qui ne se termine pas comme prévu, des histoires peuplées de fantômes, d’esprits, de revenants. Sans décor ni accessoires superflus, le collectif créé en 2016 et réunissant quatre comédiens de la Manufacture tutoie les sommets par sa simplicité et son honnêteté. Que la montagne est belle !

e

Genève, Festival de la Bâtie – du 2 au 7 septembre 2020
Lyon, Théâtre des Clochards célestes – du 26 au 30 juin 2019
Sion, Petithéâtre – du 24 au 26 mai 2019
Lausanne, Théâtre 2.21 – du 26 janvier au 4 février 2018
Sierre, TLH – 17 et 18 janvier 2018

Crédit photo : Sébastien Monachon (http://www.bsc8.ch)

False Flag (this story is about something fundamental)

PROJET PÉDAGOGIQUE  – SPECTACLE DE SORTIE, LA MANUFACTURE

e

MISE EN SCÈNE

e

e

“Le mélange de vrai et de faux est énormément plus toxique que le faux pur.” Paul Valéry

Laura Den Hondt, Rachel Duckett, Loïc Grobéty, interprétation
Loïc Grobéty, création son
Mathilde Aubineau, collaboration artistique
François Renou, conception et mise en scène

Lausanne, La Manufacture – 7 et 8 septembre 2017

Crédit photo : Nicolas Brodard

Pierrot Lunaire

RÉCITAL DE MASTER – ANOUK MOLENDIJK

e

COLLABORATION À LA MISE EN SCÈNE

e

e

Le Pierrot Lunaire de Schönberg est une des oeuvres lyriques fascinantes du XXe siècle, de par son innovation radicale pour l’époque bien sûr, mais aussi en ce qu’elle soulève de questions laissées en suspens, générant une multiplicité d’interprétations rare pour une oeuvre du répertoire. Sa forme à jamais non identifiée permet, tout en respectant l’écriture musicale rigoureuse du compositeur, que les exécutants prennent une position et un chemin affirmés, sur la nature de la déclamation ou la nécessité d’une mise en espace. En cela, la pièce résiste à certaines pratiques actuelles de mise en mémoire, et son irrésolu pose la condition d’un vivant peu familier des scènes musicales d’aujourd’hui.

e

Anouk Molendijk (mezzo-soprano), projet et chant
François Renou, collaboration à la mise en scène
Claudia Pana, flûte
Eva Marlinge, clarinette et clarinette basse
Saya Nagasaki, violon et alto
Ariane Galigné, violoncelle
Florent Lattuga-Duyck, piano
William Blank, direction

Lausanne, HEMU – 23 mars 2017

e

Crédit photo : Estelle Vidon
Crédit vidéo : Vincent Capes

François Renou